Dansune centrale nucléaire, on puise de l’eau dans un fleuve ou une rivière, celle-ci va refroidir la vapeur puis est renvoyée avec quelques degrés supplémentaires dans le fleuve ou la rivière. Mais cette méthode pose un problème, car pour condenser des tonnes de vapeur il faut pomper beaucoup d’eau, donc quand le fleuve ou la rivière a un débit trop faible il faut faire autrement. Article niveau fin de collège 👽👽👽 Note si tu arrives directement sur ce billet, on te conseille de relire les précédents la radioactivité, d’où elle vient, les risques, la découverte de l’Uranium. Dans le précédent article ici, nous t’avons expliqué que dans une centrale nucléaire, on produisait de la vapeur permettant d’entraîner la rotation d’une grande turbine. La vapeur se forme en apportant une grande quantité de chaleur à de l’eau liquide. Cette chaleur est produite grâce à des réactions nucléaires on provoque la fission d’atomes d’Uranium 235, c’est-à-dire la cassure de leur noyau par l’impact d’un neutron. Et tout cela se fait en chaîne. En France la technologie s’appelle le REP ou Réacteur à Eau sous Pression on va te montrer aujourd’hui comment tout cela s’organise ! Produire de la vapeur Le but est de faire chauffer de l’eau comme tu peux le faire dans une cocotte minute à la maison. Sauf qu’ici, c’est une cocotte géante et que la pression y est beaucoup plus élevée ; on te conseille de relire ce précédent billet consacré à la cocotte minute. Cette grande cocotte s’appelle un générateur de vapeur » et dans une seule tranche* d’une centrale nucléaire, on trouve 3 ou 4 générateurs de vapeur cela dépend de la puissance. * une tranche, c’est toute l’installation contenant un seul réacteur nucléaire et une turbine. Dans une centrale nucléaire française, il y a généralement plusieurs tranches à un même endroit à la centrale de Gravelines, il y a 6 tranches ! Un générateur de vapeur est donc une enceinte contenant une réserve d’eau et des tubes en forme de U grâce auxquels se fait l’échange de chaleur à l’intérieur de ces tubes, circule de l’eau très chaude d’un autre circuit d’eau appelé circuit primaire » que nous verrons un peu plus loin. L’eau qui va être transformée en vapeur circule donc dans un circuit fermé, qu’on appelle circuit secondaire il comprend, dans les grandes lignes, des pompes pour faire circuler l’eau, les générateurs de vapeur, les conduites pour amener la vapeur jusqu’à la turbine, un condenseur pour condenser la vapeur après son passage dans la turbine et des conduites pour ramener cette eau au générateur de vapeur. Le circuit en bleu est le circuit secondaire. Il contient l’eau qui va se transformer en vapeur à haute pression. Après passage dans la turbine, la vapeur a moins d’énergie elle s’est refroidie et a perdu en pression. Elle est condensée en eau ce qui permet de recommencer le cycle. Et hop, retour vers le générateur de vapeur. La source chaude et le circuit primaire Mais d’où vient la chaleur reçue par l’eau du circuit secondaire ? On l’a dit, elle provient de réactions nucléaires ! Les réactions nucléaires sont des réactions qui se produisent au sein d’une partie sensible » de l’installation qu’on appelle le réacteur ». Et pour récupérer la chaleur dégagée par ces réactions, c’est encore de l’eau qui va être utilisée il y a d’autres possibilités mais dans le cas des REP, c’est de l’eau. On dit que c’est le fluide caloporteur ». Cette eau circule dans un circuit fermé le circuit primaire. Mais attends un peu ! On a parlé de l’uranium, mais comment il se présente ? La mise en forme du combustible dans une centrale nucléaire Dans la filière REP dont il est question pour tous les réacteurs français, le cœur du réacteur contient le combustible* uranium sous forme d’oxyde d’uranium UO2. Celui-ci est conditionné en petites pastilles enfermées dans des gaines métalliques étanches, appelées crayons, faites d’un alliage particulier**. * Le terme combustible est le vocabulaire utilisé pour parler des assemblages d’uranium au sein du réacteur. Il ne s’agit pourtant pas d’une combustion qui est une réaction chimique. ** Le zirconium a été choisi pour sa faculté à laisser passer les neutrons issus de la fission. Les crayons sont ensuite regroupés en assemblages, eux mêmes disposés dans une cuve remplie d’eau additionnée d’une solution particulière elle contient du bore qui absorbe les neutrons. Le cœur du réacteur, c’est l’ensemble des assemblages de combustible. Pour éviter la dissémination de la radioactivité particules et rayonnements vers l’extérieur, plusieurs barrières sont prévues la gaine métallique des pastilles, le circuit primaire la cuve et une enceinte en béton qui recouvre le tout. Lorsqu’on veut arrêter le réacteur, un système est activé il permet de plonger des barres faites en un matériau qui absorbe les neutrons. Les réactions s’arrêtent ! Le combustible dans le réacteur. Les 3 barrières pour confiner la radioactivité – la gaine métallique des pastilles, – le circuit primaire en orange, – l’enceinte en béton en forme de dôme représenté en noir Le circuit primaire contient le combustible dans le réacteur et la cuve de l’eau qui circule en circuit fermé et s’échauffe à plus de 300 °C par son passage dans la cuve autour du combustible elle récupère l’énergie produite par les réactions nucléaires, les pompes primaires qui mettent l’eau en circulation un pressuriseur qui règle la pression à une valeur élevée 150 bar environ soit plus de 150 fois la pression atmosphérique cela pour s’assurer que l’eau soit liquide à la température de 300°C au sein de la cuve les générateurs de vapeur contenant plus de 3000 tubes en U. L’eau du circuit primaire circule à l’intérieur des tubes en U, et l’eau alimentaire du circuit secondaire circule à l’extérieur l’eau du circuit primaire cède sa chaleur à l’eau du secondaire. REP avec 3 générateurs de vapeur configuration de la centrale de Gravelines En résumé On peut donc désormais présenter un schéma explicatif complet d’une centrale à REP avec tous les circuits Trois circuits indépendants et fermés assurent le bon fonctionnement d’une centrale nucléaire REP le circuit primaire, où de l’eau sous pression circule en circuit fermé autour du combustible de façon à extraire l’énergie produite par les réactions nucléaires, le circuit secondaire, indépendant du premier là où se forme la vapeur cheminant vers la turbine ainsi la vapeur formée n’est pas en contact avec le cœur et ne contient aucune radioactivité. le circuit de refroidissement permettant la condensation de la vapeur après son passage dans la turbine ce circuit est de l’eau venant d’une rivière*, ou de la mer qui circule dans des tubes au niveau du condenseur et le refroidit. * L’eau de la rivière est alors elle-même refroidie au sein d’un réfrigérant atmosphérique on t’en avait parlé ici. Est-ce que c’est dangereux ? La question de la sûreté des installations et celle de la gestion des déchets le combustible qui a séjourné dans le réacteur est qu’on ressort lorsqu’il est usé » restent des préoccupations fortes, pour lesquelles des réponses existent et méritent un approfondissement. Nous reviendrons sur la gestion des déchets et de la sécurité un peu plus tard voir le billet sur Tchernobyl ici Auteur Pascale Baugé du blog Le Monde et Nous
Unpoutinien notoire trouve normal que les russes se servent de la centrale. Pour lui, une centrale nucléaire et une lieu de missiles ukrainiens c est pareille. Il veux que lenvahisseur hait tous

Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Moteur que l’on trouve dans une centrale nucléaire. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nécessitent une bonne connaissance générale des thèmes politique, littérature, mathématiques, sciences, histoire et diverses autres catégories de culture générale. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficulté. Si vous cherchez des réponses, alors vous êtes dans le bon sujet. Le jeu est divisé en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposée dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez également consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross REACTEUR Nous pouvons maintenant procéder avec les solutions du sujet suivant Solution Codycross Transports Groupe 115 Grille 5. Si vous avez une remarque alors n’hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous êtes entrain de résoudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionné plus haut pour retrouver la liste complète des définitions à trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'énigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayés. This div height required for enabling the sticky sidebar

Lasolution à ce puzzle est constituéè de 8 lettres et commence par la lettre R CodyCross Solution pour MOTEUR QUE L'ON TROUVE DANS UNE CENTRALE NUCLÉAIRE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes
Cette fin de semaine, la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine s'est une nouvelle fois retrouvée sous les tirs. Le secrétaire général de l'ONU a qualifié ce lundi de suicidaire » toute attaque contre des centrales nucléaires et a appelé à l'arrêt des opérations militaires autour de Zaporijjia, afin que l'Agence internationale de l'énergie atomique AIEA puisse y accéder. Russes et Ukrainiens se renvoient la balle. Toute attaque contre des centrales nucléaires est suicidaire », a martelé le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, lors d'une conférence de presse à Tokyo ce lundi Une visite dans le cadre de la commémoration des bombardements nucléaires américains sur le Japon, en août 1945. Personne, personne ne peut accepter l'idée qu'une nouvelle guerre nucléaire puisse se produire Antonio Guerres, secrétaire général des Nations unies Nous sommes à un moment où le risque d'une confrontation nucléaire est de retour» RFI Depuis plusieurs jours, le secrétaire général de l'ONU ne cesse d'alerter sur les risques nucléaires sur l'humanité qui n'est qu'à un malentendu » ou une erreur de jugement » de l' anéantissement nucléaire », a-t-il mis en garde le 1er août dans un discours à New York. Le 6 août, à l'occasion du 77e anniversaire du bombardement atomique à Hiroshima, il a estimé que l'humanité jouait avec un pistolet chargé » dans le contexte des crises actuelles à connotation bombardements cette fin de semaineEn Ukraine, la centrale de Zaporijjia a été encore la cible de tirs vendredi et samedi, Russes et Ukrainiens s'accusant mutuellement de ces bombardements. Les autorités russes d'occupation de la ville d'Energodar, où se trouve la centrale ont ainsi affirmé que l'armée ukrainienne avait tiré dans la nuit de samedi à dimanche un engin à sous-munitions avec un lance-roquettes multiple Ouragan ». Les éclats et le moteur de la roquette sont tombés à 400 mètres d'un réacteur en marche », ont-elles poursuivi, ajoutant que cette frappe avait endommagé » des bâtiments administratifs et touché une zone de stockage de combustible nucléaire usagé ». Le ministère russe de la Défense assure ce lundi que cette dernière frappe, dans la nuit de samedi à dimanche, a endommagé une ligne à haute tension fournissant de l'électricité à deux régions ukrainiennes.► À lire aussi en Ukraine, frappes près d'un réacteur nucléaire, départ de trois cargos chargés de céréalesLe patron de l'agence nucléaire ukrainienne Energoatom, Petro Kotine, a pour sa part appelé lundi à déloger les occupants russes et à créer une zone démilitarisée » sur le site de la compagnie d'État ukrainienne a annoncé qu'un des employés sur place avait dû être hospitalisé pour des blessures causées par l'explosion » d'une des roquettes tirées samedi soir par les Russes. Trois détecteurs de surveillance des radiations autour du site de la centrale ont été endommagés .... Par conséquent, il est actuellement impossible de détecter » une éventuelle hausse de la radioactivité et donc d' intervenir en temps utile », a-t-elle ajouté. Zaporijia, la plus grande centrale nucléaire d'Europe La centrale est située dans le sud de l’Ukraine, au bord du fleuve Dniepr. D’une capacité totale de 6 000 mégawatts, elle fournit 20% des besoins en électricité du il y a 37 ans, elle est composée de 6 réacteurs. La construction du premier a commencé en 1979, alors que l'Ukraine faisait partie de l'Union soviétique et le dernier a été achevé en 1995. La conception de ces réacteurs à eau pressurisée, est considérée comme étant parmi les plus sûres ils sont plus modernes que ceux de la centrale de Tchernobyl dont l'un des réacteurs a explosé en avril 1986, entraînant l'arrêt de la comme la plus grande centrale du continent européen, Zaporijia est donc un vrai monstre nucléaire. En mars dernier, le ministre ukrainien des Affaires étrangères a averti que si la centrale explosait à cause des bombardements, les effets seraient dix fois pires que ceux de l'accident de Tchernobyl. Celui-ci est le plus grave de l'histoire de l'industrie électronucléaire civil. Il est de niveau 7, le plus haut niveau de l'échelle internationale INES International nuclear event scale. Inquiétude de l'AIEAL'Agence internationale pour l'énergie atomique AIEA a jugé samedi de plus en plus alarmantes » les informations en provenance de la centrale de Zaporijjia, dont l'un des réacteurs a dû être arrêté après l'attaque de vendredi. J'espère que ces attaques prendront fin. En même temps, j'espère que l'AIEA pourra accéder à la centrale » de Zaporijjia, a encore lancé ce lundi matin Antonio Guterres. ► À lire aussi Situation tendue à la centrale nucléaire de Zaporijjia entre militaires russes et personnel ukrainienet avec agences
Lesmoteurs thermiques que l’on trouve aujourd’hui dans l’écrasante majorité des véhicules en circulation sur les routes ont notamment pour défaut d’avoir une efficacité énergétique faible. Ils consomment une grande partie de l’énergie utilisée à fabriquer de la chaleur et dans les frottements entre pièces mécaniques. Réduire ses frottements, en améliorant les
À la suite de l’accident de Fukushima, EDF a défini un ensemble de mesures visant à compléter le dispositif de sûreté existant. La construction de diesels d’ultime secours DUS – un par réacteur – est l’une des concrétisations de ce plan post-Fukushima ». Quelques mois après Fukushima et après la tenue d’un vaste audit évaluations complémentaires de sûreté », l’exploitant du parc nucléaire, EDF, a mis en place un ensemble de dispositions exceptionnelles visant à pérenniser le parc nucléaire français en garantissant son intégrité en toute situation. L’installation de diesel d’ultime secours DUS est une mesure importante du dispositif post-Fukushima. Ce projet s’inscrit dans le cadre du programme Grand Carénage », actuellement en déploiement. Disponibles dans les situations les plus extrêmes Ce dispositif doit permettre en cas de perte totale des alimentations électriques externes et internes au centrale, de rétablir l’alimentation électrique des matériels et systèmes de sûreté de la centrale. Dit autrement face à une situation critique, les DUS sont en capacité de garantir le fonctionnement des systèmes de refroidissement de l’installation. Pour cela, ils sont prévus pour résister à des situations extrêmes, notamment de catastrophes naturelles séisme, inondation, tornade, bien plus importants que celles prises en compte à la conception des installations et lors des réévaluations de sûreté. Les DUS sont ainsi montés sur des plots antisismiques voir photo. Utilisés dans des situations extrêmes, ces bâtiments produiront une électricité d’appoint. Une centrale nucléaire dispose de six sources d’alimentation électrique. Une seule est suffisante pour garantir le fonctionnement des matériels de sûreté. Des bâtiments bunkérisés » conçus pour résister aux risques ultimes D’ici l’été 2018, chacun des 58 réacteurs du parc nucléaire sera équipé de DUS, d’importantes structures de 24 m de long, 12 m de large et 25 m de hauteur. Installés dans l’enceinte des centrales nucléaires, les bâtiments DUS » abritent un moteur de 3,5 MW composé d’un groupe diesel et d’un alternateur d’une autonomie de quinze jours. Pour l’alimenter, deux cuves de l de fuel ont été intégrées dans l’ensemble. De quoi alimenter deux groupes électrogènes de la taille d’un moteur de bateau qui assureront le refroidissement du réacteur en cas de défaut des cinq autres systèmes de sécurité. Un système de secours complet Une centrale nucléaire dispose de six sources d’alimentation électrique. Une seule est suffisante pour garantir le fonctionnement des matériels de sûreté. Les diesels d’ultime secours viennent compléter un système de matériels et systèmes de secours déjà existants et redondants. Parmi les alimentations électriques, on trouve deux alimentations de secours. Ces deux puissants groupes électrogènes de secours à moteur diesel, capables de fournir de l’électricité aux systèmes de sûreté en cas de non fonctionnement des alimentations électriques. Au-delà des diesels, les centrales sont équipées de deux moyens d’alimentation supplémentaires permettant d’assurer le fonctionnement des systèmes de sûreté il s’agit d’un groupe turbo-alternateur appelé TAS LLS» et d’une turbine à combustion. Légende Le groupe Demathieu Bard équipe huit tranches sur quatre sites nucléaires de bâtiments – Crédit Demathieu Bard
Lafusion nucléaire est une réaction dans laquelle deux noyaux atomiques s’assemblent pour former un noyau plus lourd ; par exemple, un noyau de deutérium et un noyau de tritium s’unissent pour former un noyau d’hélium plus un neutron. La fusion des noyaux légers dégage une quantité considérable d’énergie provenant de l’interaction forte, bien plus importante que la
l'essentiel Pour la deuxième fois en moins de 24h, la plus grande centrale nucléaire d'Europe, située dans le sud de l'Ukraine, a été bombardée. Détenue aux mains des Russes depuis début mars, la centrale de Zaporijia inquiète l'Agence internationale du nucléaire, qui redoute "une catastrophe nucléaire". Aux mains des Russes depuis début mars, la centrale nucléaire de Zaporijia cristallise toutes les tensions. La plus grande centrale d'Europe a été bombardée une deuxième fois dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août, après un premier bombardement vendredi. "Trois détecteurs de surveillance des radiations autour du site de la centrale ont été endommagés .... Par conséquent, il est actuellement impossible de détecter" une éventuelle hausse de la radioactivité et donc d'"intervenir en temps utile", a affirmé la compagnie d'Etat ukrainienne Energoatom. A lire aussi Guerre en Ukraine un risque de "catastrophe nucléaire" redouté à la centrale de Zaporijia À la suite du premier bombardement vendredi, la compagnie ukrainienne avait affirmé que les bombardements avaient "gravement endommagé" une station renfermant de l'azote et de l'oxygène et un "bâtiment auxiliaire". "Il existe toujours des risques de fuite d'hydrogène et de substances radioactives, et le risque d'incendie est également élevé", a-t-elle souligné. Les deux pays s'accusent mutuellement "Il n'y a pas une seule nation au monde qui puisse se sentir en sécurité lorsqu'un Etat terroriste bombarde une centrale nucléaire", a réagi dans sa vidéo quotidienne le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Mais comme pour les bombardements de vendredi, les Russes accusent l'Ukraine d'avoir bombardé la centrale. A lire aussi Ukraine Kiev et Moscou s'accusent de mener des frappes près de la centrale nucléaire de Zaporijia Les autorités d'occupation de la ville d'Energodar, où se trouve la centrale de Zaporijjia, ont ainsi affirmé que l'armée ukrainienne avait tiré dans la nuit de samedi à dimanche un engin à sous-munitions avec un "lance-roquettes multiple Ouragan". "Les éclats et le moteur de la roquette sont tombés à 400 mètres d'un réacteur en marche", ont-elles poursuivi, ajoutant que cette frappe avait "endommagé" des bâtiments administratifs et touché "une zone de stockage de combustible nucléaire usagé". Parallèlement, la compagnie d'Etat ukrainienne Energoatom a annoncé qu'un des employés sur place avait dû être hospitalisé pour des "blessures causées par l'explosion" d'une des roquettes tirées "samedi soir" par les Russes. "Un vrai risque de catastrophe nucléaire" "Toute attaque contre des centrales nucléaires est une chose suicidaire", a condamné le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres lundi matin à Tokyo. "J'espère que ces attaques prendront fin. En même temps, j'espère que l'AIEA pourra accéder à la centrale" de Zaporijjia. Selon Rafael Mariano Grossi, directeur de l'agence internationale pour l'énergie atomique IAEA, ces frappes démontrent un "vrai risque de catastrophe nucléaire pouvant menacer la santé et l'environnement en Ukraine et au-delà". L'AIEA avait jugé samedi "de plus en plus alarmantes" les informations en provenance de la centrale de Zaporijjia, dont l'un des réacteurs a dû être arrêté après l'attaque de vendredi. Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a quant à lui dénoncé "la violation irresponsable" des règles de sécurité nucléaire par la Russie. Face aux tensions qui se multiplient autour de la centrale, l'AIEA a réitéré samedi son intention de conduire une mission d'experts sur place, d'après Franceinfo. Une proposition rejetée jusqu'à présent par l'Ukraine par peur que cela ne légitime l'occupation russe du site.
Ilne reste plus qu'à trouver l'origine de la panne et à relancer le réacteur nucléaire. C'est Lire la suite: En bref : le réacteur de la centrale nucléaire de Penly à l'arrêt Les actualités Futura-Sciences. 06/04/2012, 16h16 #2 meteor31bis. Re : Actu - En bref : le réacteur de la centrale nucléaire de Penly à l'arrêt je lis dans la brève: "À 12 h 20, une alarme incendie a

Cette première mondiale devrait permettre selon ses promoteurs de recycler des combustibles usés. Nous avons tous encore en tête les images de chaos à la centrale nucléaire de Fukushima au Japon après le tremblement de terre et le tsunami. Aujourd'hui, à l'Institut Von Karman de Rhode-Saint-Genèse, des ingénieurs essaient de reproduire l'effet de ce tremblement de terre sur un modèle réduit. La simulation de ce qui passe à l'intérieur d'un réacteur dans le liquide de refroidissement pendant les secousses est impressionnante. Philippe Planquart, l'ingénieur responsable du projet à l'Institut Von Karman explique que l'on peut ainsi rajouter des éléments dans le réacteur ou formuler des recommandations pour modifier le design et tester pour diminuer les déplacements de la surface du liquide qu'on peut observer pendant le test. En clair, on cherche ici à améliorer la structure pour contrecarrer l'apparition de ces grosses vagues qui peuvent mettre en danger la sécurité de ce réacteur. Dans une autre reproduction miniature, on perturbe le liquide de refroidissement et on en visualise les turbulences. Les zones de hautes températures en particulier sont à éviter, car elle peuvent détériorer les matériaux. Chiara Spaccapaniccia, ingénieure et doctorante à l'Institut Von Karman nous donne les raisons de ces tests "Avant de construire le réacteur il faut démontrer qu'en matière d'hydraulique, il marche bien, dit-elle, donc, qu'il n'y a pas trop de résistance à l'écoulement et que l'écoulement est capable d'enlever la chaleur produite par le coeur." Tests en modèle réduit inédits dans le nucléaire belge Expérimenter des événements extrêmes comme des séismes à petite échelle avant même de concevoir le vrai réacteur, c'est nouveau et même complètement inédit dans le domaine nucléaire belge. Mais le réacteur que l'on teste ici, est très loin d'être ordinaire. Ce n'est pas celui que l'on trouve dans nos centrales nucléaires. Myrrha, c'est son nom, c'est le premier prototype mondial de réacteur de nouvelle génération. Contrairement à ce qui se passe dans nos réacteurs actuels, il est très facile à arrêter, il dispose d'un accélérateur, pour l'allumer et l'éteindre, sorte d'interrupteur marche/arrêt. Plus sûr, plus facile à utiliser et à contrôler, il serait aussi beaucoup plus efficace... Et ce n'est pas tout, ajoute Hamid Ait Abderrahim, le directeur général adjoint du Centre d'étude de l'énergie nucléaire de Mol "On a besoin d'aucun élément que ce soit un moteur ou une pompe qui aurait besoin d'une énergie extérieure, pour refroidir le réacteur.. Donc, ... avec une source chaude en bas et une source froide en haut, la différence de température va faire que le liquide va circuler de lui-même." Pas de problème donc en cas de panne d'électricité. Enfin, cerise sur ce gâteau nucléaire, le petit nouveau permettrait aussi de réduire la dangerosité de certains de nos déchets radioactifs les plus toxiques, en diminuant leur durée de vie de à 300 ans, ajoute Hamid Ait Abderrahim. Solution miracle pour des déchets radioactifs? Une solution miracle vraiment pour ces encombrants déchets? Ce n'est pas du tout l'avis de Jan Vande Putte spécialiste du nucléaire chez Greenpeace "On va créer des déchets secondaires parce que si on commence à détruire physiquement ces déchets, puis les dissoudre dans des acides, etc. On va produire des volumes plus important encore. le retraitement augmente le volume de radioactivité." Autrement dit, les déchets seront plus nombreux et il sera encore plus difficile de s'en débarrasser. Pour Greenpeace, il faudrait investir autrement dans la recherche nucléaire et notamment dans le traitement définitif des déchets radioactifs déjà produits. Entre innovation, communication bien réglée et réels bénéfices pour notre avenir, la seule certitude c'est que cet ambitieux projet européen devrait coûter près 960 millions d'euros dont 40% pris en charge par la Belgique. Pascale Bollekens

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