Résumé« Le masque de la mort rouge » (« The Masque of the Red death ») est un conte d'Edgar Allan Poeparu en 1842 dans le Graham's Lady's and Gentleman's Magazine. C'est une nouvelle où Poe s'exerce magistralement au genre gothique. Caractéristiques Voir tout Date de parution. juillet 2019 . Editeur. Auto-Édition. Format. ebook (ePub) Type de DRM. Sans DRM .
Vous êtes ici Accueil Livres Contes Le masque de la mort rouge Voir un extrait de Le masque de la mort rouge Acheter Le masque de la mort rouge Prix 0,99 € Résumé de l'histoireLa nouvelle gothique par excellenceLa mort rouge, la condition humaine selon Poe ? Le masque de la mort rouge » The Masque of the Red death » est un conte d'Edgar Allan Poe paru en 1842 dans le Graham's Lady's and Gentleman's Magazine. C'est une nouvelle où Poe s'exerce magistralement au genre gothique. Résumé de l'histoire Une épidémie de mort rouge, une peste d'une violence effroyable, frappe la contrée. La mort rouge doit son nom aux douleurs aigues et aux suintements de sang par les pores de la peau, qui colorent les vêtements et le visage, donnant à la victime un aspect repoussant. Une fois ses domaines à moitié dépeuplés, le prince Prospero s'enferme avec un millier de ses courtisans dans une de ses abbayes fortifiées. Là, isolés du reste du monde à l'agonie, ils vivent, s'amusent, en vase-clos. Une nuit, Prospero organise un bal masqué dans sept salles alignées dans une immense enfilade, et toutes de couleurs différentes bleue, pourpre, verte, orange, blanche, violette, noire. La dernière salle, celle à l'occident, la salle noire, donne une impression si effrayante que nul n'ose s'y aventurer. C'est alors que Prospero aperçoit un individu avec un masque de mort rouge, plaisanterie qu'il trouve de fort mauvais goût. Il poursuit l'inconvenant jusque dans la salle noire, et quand celui-ci se retourne, Prospero meurt. Les courtisans ôtent le masque et réalisent que la mort rouge est maintenant parmi eux. Ils meurent tous. Retour en haut de pageLa nouvelle gothique par excellence Comme pour Metzengerstein » que nous avons publié dans Les contes du bizarre, on a un chef d'œuvre du gothique, ciselé, tenu, contrôlé, gothique surtout par le cadre classique, la nuit, l'extérieur terrible et effrayant, le château ou l'abbaye dans lequel on croit trouver refuge mais qui s'avère pire que ce que l'on pensait fuir, la futilité des personnages face à l'inévitabilité du danger qui les menace, la folie androgyne, maladive, du personnage principal, la saturation des ambiances, des couleurs, des sons l'horloge d'ébène, des ombres, qui rappellent un film expressioniste, les allégories, notamment celles de la mort, la simplicité de l'intrigue, la structuration présentation de la situation, description graphique de l'environnement, avec exagération de la composante esthétique, une obsession comme fil conducteur, ambiance lourde donnant l'illusion d'une fausse protection, apparition du danger, fin tragique, absence totale d'espoir et cette langue de Poe, qui semblait faite pour écrire du gothique. Retour en haut de pageLa mort rouge, la condition humaine selon Poe ? Le récit est atemporel, et Poe aime à situer ses contes gothiques dans un monde très continental et Européen, mais la référence à la peste noire est évidente. En dépit des efforts vains des humains pour oublier, pour s'inventer des vies rêvées, pour se séparer de la masse, pour se protéger du monde, si différent qu'il en devient irréel le gothique, de par ses ambiances appartenant à un médiéval repensé par le Dix Neuvième siècle, fait de contrastes sociaux, de dangers, de cruauté, de terres désertées et sombres, le gothique baigne dans un système de castes sociales, nul n'échappe non pas à son destin, mais à la mort de masse et au Jugement dernier. Car la peste noire, c'est bien l'Apocalypse qui arrive sur terre. D'ailleurs, nous nous étonnons que l'on n'étudie pas davantage l'évolution de la religiosité en Occident suite à la peste noire. Le conte de Poe ne s'intéresse pas à la condition humaine sur le plan individuel, ce n'est pas l'inévitabilité du sort individuel qui fascine Poe. Poe est un être fondamentalement illuminé, mystique, presque messianique. C'est bien une réflexion sur l'humanité qui construit sa version de la condition humaine. Et pour comprendre Le masque de la mort rouge », il faut lire Euréka. © 2013- Les Editions de Londres Voir un extrait de Le masque de la mort rouge Acheter Le masque de la mort rouge 0,99 € Retour en haut de page Avis d'un lecteur Bandeannonce du court métrage "Le Masque de la Mort Rouge". Lauréat Défi Jeunes 2005, tourné fin 2005Réalisé par Guillaume Moiton, produit par Calle Mar (Vi InfosDiffusionsCastingRésuméAu XIIe siècle, l'Italie est en proie à une épidémie de peste. Le prince Prospero, adorateur invétéré de Satan, se retire dans son château avec Juliana, sa maîtresse, et une jeune fille nommée Francesca dont il retient prisonniers le père et le fiancé. Le château résonne d'inquiétants bruits d'orgies et de meurtres. Un jour arrive un mystérieux personnage, tout de rouge vêtuGenreFilm - HorreurAnnée de sortie1964AvecVincent Price, Hazel Court, Jane Asher, David Weston, Paul Whitsun-Jones, Patrick Magee, Roger Corman, Edgar Allan Poe, R. Wright Campbell, Charles BeaumontInfos supplémentairesProgramme déconseillé aux moins de 12 ansAvis des internautes 1Vous avez aimé ce programme ? Livreaudio complet : "Le masque de la mort rouge" de Edgar Allan Poeenregistrement : EricCe livre audio a été enregistré par l'associati Préface des Editions de Londres Le masque de la mort rouge » The Masque of the Red death » est un conte d’Edgar Allan Poe paru en 1842 dans le Graham’s Lady’s and Gentleman’s Magazine. C’est une nouvelle où Poe s’exerce magistralement au genre gothique. Résumé de l’histoire Une épidémie de mort rouge, une peste d’une violence effroyable, frappe la contrée. La mort rouge doit son nom aux douleurs aiguës et aux suintements de sang par les pores de la peau, qui colorent les vêtements et le visage, donnant à la victime un aspect repoussant. Une fois ses domaines à moitié dépeuplés, le prince Prospero s’enferme avec un millier de ses courtisans dans une de ses abbayes fortifiées. Là, isolés du reste du monde à l’agonie, ils vivent, s’amusent, en vase-clos. Une nuit, Prospero organise un bal masqué dans sept salles alignées dans une immense enfilade, et toutes de couleurs différentes bleue, pourpre, verte, orange, blanche, violette, noire. La dernière salle, celle à l’occident, la salle noire, donne une impression si effrayante que nul n’ose s’y aventurer. C’est alors que Prospero aperçoit un individu avec un masque de mort rouge, plaisanterie qu’il trouve de fort mauvais goût. Il poursuit l’inconvenant jusque dans la salle noire, et quand celui-ci se retourne, Prospero meurt. Les courtisans ôtent le masque et réalisent que la mort rouge est maintenant parmi eux. Ils meurent tous. La nouvelle gothique par excellence Comme pour Metzengerstein » que nous avons publié dans Les contes du bizarre, on a un chef d’œuvre du gothique, ciselé, tenu, contrôlé, gothique surtout par le cadre classique, la nuit, l’extérieur terrible et effrayant, le château ou l’abbaye dans lequel on croit trouver refuge mais qui s’avère pire que ce que l’on pensait fuir, la futilité des personnages face à l’inévitabilité du danger qui les menace, la folie androgyne, maladive, du personnage principal, la saturation des ambiances, des couleurs, des sons l’horloge d’ébène, des ombres, qui rappellent un film expressioniste, les allégories, notamment celles de la mort, la simplicité de l’intrigue, la structuration présentation de la situation, description graphique de l’environnement, avec exagération de la composante esthétique, une obsession comme fil conducteur, ambiance lourde donnant l’illusion d’une fausse protection, apparition du danger, fin tragique, absence totale d’espoir et cette langue de Poe, qui semblait faite pour écrire du gothique. La mort rouge, la condition humaine selon Poe ? Le récit est atemporel, et Poe aime à situer ses contes gothiques dans un monde très continental et Européen, mais la référence à la peste noire est évidente. En dépit des efforts vains des humains pour oublier, pour s’inventer des vies rêvées, pour se séparer de la masse, pour se protéger du monde, si différent qu’il en devient irréel le gothique, de par ses ambiances appartenant à un médiéval repensé par le Dix Neuvième siècle, fait de contrastes sociaux, de dangers, de cruauté, de terres désertées et sombres, le gothique baigne dans un système de castes sociales, nul n’échappe non pas à son destin, mais à la mort de masse et au Jugement dernier. Car la peste noire, c’est bien l’Apocalypse qui arrive sur terre. D’ailleurs, nous nous étonnons que l’on n’étudie pas davantage l’évolution de la religiosité en Occident suite à la peste noire. Le conte de Poe ne s’intéresse pas à la condition humaine sur le plan individuel, ce n’est pas l’inévitabilité du sort individuel qui fascine Poe. Poe est un être illuminé, mystique, presque messianique. C’est bien une réflexion sur l’humanité qui construit sa version de la condition humaine. Et pour comprendre Le masque de la mort rouge », il faut lire Euréka. © 2013- Les Editions de Londres
Résumé Au Moyen Âge, en Italie, le prince Prospero, seigneur des lieux humilie ses paysans en les terrorisant, en brûlant leurs maisons et en faisant prisonnier Francesca, une jeune paysanne avec son père et son petit ami. Alors que le convoi de Prospero s’apprête à repartir vers son château, ce dernier à la révélation que la « mort rouge » s’abat sur la région. Alors il
Description "La Mort Rouge avait pendant longtemps dépeuplé la contrée. Jamais peste ne fut si fatale, si horrible. Son avatar, c'était le sang, la rougeur et la hideur du sang. C'étaient des douleurs aiguës, un vertige soudain, et puis un suintement abondant par les pores, et la dissolution de l'être. Des taches pourpres sur le corps, et spécialement sur le visage de la victime, la mettaient au ban de l'humanité, et lui fermaient tout secours et toute sympathie. L'invasion, le résultat de la maladie, tout cela était l'affaire d'une demi-heure." C'est ici dans la fête, la farce et la mascarade qu'Edgar Allan Poe fait naître ses histoires. Et quand arrive le moment, la plaisanterie devient terriblement macabre. Le comédien Serge Djen se sert de tout son art pour nous conter ces trois histoires extraordinaires. L'auteur Né à Boston en 1809, Edgar Poe, orphelin de comédiens pauvres, est recueilli à 3 ans par un riche négociant en tabac. Il connaît une vie instable marquée par la misère, la mort des femmes qu'il aime et l'alcool. "Ma terreur ne vient pas de l'Allemagne, disait-il, mais du fond de mon âme". Génial maître du fantastique et de l'épouvante, notamment avec ses Histoires extraordinaires, révélé par Baudelaire qui le traduisit, il suscita en France un véritable culte. "L'inventeur des combinaisons les plus neuves et les plus séduisantes de la logique avec l'imagination, de la mysticité avec le calcul, le psychologue de l'exception, l'ingénieur littéraire" dira de lui Paul Valéry. Il meurt à Baltimore en 1849. P Des Oreilles Pour Lire, 2008 Datede sortie : 1964 Son : couleurs Durée : 1 h 29 Résumé. Le prince Prospero, qui s'est voué à Satan, donne un grand bal, mais la Mort Rouge est au milieu des invités. Parmi toutes les adaptations de Poe réalisées par Cornan, celle-ci est devenue un classique du genre.

Retrouvezle film "Le Masque de la mort rouge" realisé par Roger Corman avec Vincent Price en DVD. Boîtier keep case avec surétui Présentation du film Bande-annonce

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