Le pouvoir du Mental – C’est sortir de sa zone de confort et toujours dépasser ses propres limites dans un seul et unique objectif Accéder à son plein potentiel ! C’est l’une des raisons qui à poussé Nicolas à se lancer dans ce nouveau défi L’ascension hivernale du plus haut sommet d’Afrique du Nord Mont Toubkal – Haut Atlas – Maroc. Après plusieurs heures d’ascension dans une température avoisinant les -30 degrés, harnaché de son équipement de haute montagne crampons, piolet, frontal, et cela malgré le froid, le vent, la soif, les conditions météo difficiles et le manque d’oxygène, Nicolas s’est hissé au sommet du Mont Toubkal 4167 mètres ce lundi 06 février dernier. Malgré son goût prononcé pour les sports extrêmes, Nicolas s’est retrouvé en situation de danger ! Etre face à la peur, aux doutes et à l’incertitude, c’est précisément ce qu’il était venu chercher dans cette nouvelle aventure, ces moments ou l’on prend conscience de la puissance du mental psychique sur notre corps physique. S’éveiller chaque jours un peu plus pour devenir la meilleure version de soi-même …Quelques650 milliards de dollars devraient être émis par le FMI, dont plus de 33 milliards de dollars pour l'Afrique (23 milliards de dollars pour l'Afrique subsaharienne). Emmanuel Macron mise sur 100 milliards de dollars, après la réallocation d'une partie des DTS des pays riches vers les pays les plus pauvres.
Le gouvernement tanzanien a confirmé l’accès à l’internet à haute fréquence sur la montagne Kilimandjaro, le 16 août. Situé à 5 895 m au-dessus du niveau de la mer, le Kilimandjaro est le plus haut sommet d’Afrique et de l’hémisphère trekkeurs auront désormais la possibilité de profiter de l’utilisation d’Internet non seulement sur les pentes, mais aussi au sommet de la savoir que les randonneurs perdaient toujours le signal sur leur téléphone, même pour un appel près du point de départ, à environ 1 860 Mont Kilimandjaro est une destination touristique de choix. Il attire chaque année quelque 50 000 trekkeurs du monde entier. Cela contribue également à 18 % de l’économie de la neige sur le Kilimandjaro presque toute l’année, mais les mois les plus courants sont de novembre à mars. C’est encore une autre expérience que les touristes aiment vivre au sommet de la montagne en le plus haut sommet d’Afrique, à 5 895 m d’altitude, offrira un accès à l’internet à haut débit
Trouverla plus haut sommet en afrique photo idéale Une vaste collection, un choix incroyable, plus de 100 millions d’images LD et DG abordables de haute qualité. Pas besoin de vous inscrire, achetez dès maintenant ! Trois Nivernais, Virginie Thierriaz, Hervé Banas et Fabrice Crobeddu, viennent de réaliser l’ascension du Kilimandjaro, plus haut sommet d’Afrique m. Ils les ont vues, les neiges éternelles du Kilimandjaro, en Tanzanie, promises par la chanson, mais en voie de disparition. Mais pour les trois Nivernais qui se sont lancés à l’assaut du plus haut sommet de l’Afrique, en février, pas question de les admirer. Ni pendant l’ascension en elle-même, ni une fois arrivés en haut, où on ne peut rester que dix minutes. Nous, nous y sommes restés onze minutes », raconte Hervé Banas, l’un des aventuriers avec Virginie Thierriaz et Fabrice Crobeddu. Le projet. Les trois Nivernais font partie de l’association Marathon Aventure Globe. Dont l’un des objectifs est de mener ses adhérents vers des aventures exceptionnelles. Après “plus vite” avec des marathons, il s’agissait d’aller “plus haut”. Après le toit de l’Europe le mont Blanc, celui de l’Afrique », explique Hervé Banas. Le périple de ce dernier a toutefois été financé par l’ingénierie de formation d’un groupe national, dans le cadre du dépassement de soi. Auprès de laquelle il a ensuite débriefé son expérience. La préparation. Quatre mois ont été nécessaires pour préparer le projet. Au cours desquels a été effectué un travail de résistance. Quatre séances de course à pied par semaine et un travail d’endurance aérobie. Sans oublier qu’il fallait se préparer aux conditions de vie qui nous attendaient ne pas se laver pendant cinq jours, être à l’écoute de son corps en terme d’alimentation et de sommeil. Et se forger un mental d’acier… » Un équipement technique spécifique est également primordial, notamment les vêtements pour supporter les températures allant de 25 °C à -35 °C. L’encadrement. Les trois aventuriers sont arrivés au Kilimanjaro Airport, via Addis-Abeba Éthiopie. L’expédition avait été préparée par une agence de voyage spécialisée, Terre d’Aventure. Au pied du “monstre”, ils ont rejoint un groupe de onze autres personnes venues s’attaquer à la montagne, des personnes de profils divers. Il y avait un homme travaillant à la City, à Londres, faisant partie de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron, un militaire, ou encore une personne travaillant en Ukraine », énumère Hervé Banas. Pour les encadrer, vingt-huit porteurs se chargeant du transport de la nourriture, du ravitaillement, des tentes. Chacun portant sur son dos un sac de 30 kg. Les porteurs s’arrêtent toutefois à m. Huit guides entouraient les grimpeurs. Dont un qui, chaque soir, mesurait la fréquence cardiaque et la saturation en oxygène » de chacun. Première partie de l’ascension. Cinq jours sont nécessaires pour atteindre m. Et surtout s’y acclimater. Nous sommes montés par la voie Machame, la plus difficile, sans alpinisme, mais avec un très bon niveau de trekking. L’ascension du Kilimandjaro ne peut pas être la première. Il faut en avoir fait d’autres avant », prévient Hervé Banas. Lui avait notamment gravi le mont Blanc, Virginie Thierriaz avait fait l’Everest fin 2014. Dans ces conditions extrêmes, on est seul face à soi-même. On se sent en danger. Cette première partie s’est bien passée pour les Nivernais. Les chemins, pierreux, ressemblent à ceux du GR20, que nous avions parcourus par le passé. Nous avancions à 4 km/h environ, parcourant entre 8 et 15 km par jour, en général de sept à quinze heures. La température oscillait entre 15 ° le matin et 25 ° l’après-midi. Nous souffrions de la chaleur. Les guides nous prévenaient nous devions bien nous hydrater en prévision de l’ascension finale, au cours de laquelle la température serait beaucoup plus froide. » L’ascension finale. Au-delà de m, tout se complique. Chaque effort doit être minimisé. Les nuits commençaient à devenir froides, entre -10 ° et -5 °. Peu à peu, la température baisse. Ces deux derniers jours, elle est descendue à -35 °. À un moment, j’ai enlevé un de mes gants j’ai senti le feu dans ma main ! Et puis, le vent était surtout très gênant. Il soufflait entre 100 et 120 km/h. Je sentais le vent s’engouffrer dans mes chaussures… Nous progressions de 100 m par heure… » Dans cette dernière partie, qui dure deux jours, les aventuriers portent leurs affaires eux-mêmes 6 kg maximum, dont des thermos qui ne gèlent pas ». Dans ces conditionks extrêmes, on est seul face à soi-même. On se sent en danger. » L’ascension finale s’est déroulée de 23 h 30 à 6 h 30, période durant laquelle les conditions sont les plus favorables. Il y a moins de vent ». Virginie Thierriaz, un moment les lèvres collées par le froid, et Hervé Banas atteignent les m, avec… quatre autres personnes, sur les quatorze du groupe au départ. Environ un tiers arrive au sommet », souligne Hervé Banas. Fabrice Crobeddu, lui, n’en pouvait plus. Il est redescendu à m. » Au sommet, face aux neiges éternelles du glacier, le groupe de “survivants” est resté onze minutes. Normalement, c’est dix maximum ». Ensuite, place à la descente, sur des gravillons, à pic ». Avant de terminer par une ultime marche de quatre heures pour rejoindre le camp de Banas, Fabrice Crobeddu et Virginie Thierriaz à m. Les choses se sont compliquées après m. Dépassement de soi. Les trois Nivernais ont donc réussi. À se dépasser, à repousser leurs limites. Ce qu’Hervé Banas a retenu, c’est qu’ il faut un mental d’acier. Il ne faut pas d’affect, pas d’émotion. Ce qui peut être difficile lorsqu’on croise des porteurs qui redescendent des randonneurs sur un brancard… Il ne faut jamais renoncer. Il faut être concentré sur l’effort, être dans l’abnégation dès le début de l’ascension. Ce qui n’empêche pas la convivialité ou d’apprécier le paysage. Mais pour réussir une telle épreuve, il faut se connaître. C’est un accomplissement dans le dépassement et la connaissance de soi ». Virginie Thierriaz évoque, elle, non pas une aventure, mais une expédition, d’une densité incroyable. Sur le plan sportif, car pour moi, cette ascension équivaut à dix marathons. Mais aussi sur le plan humain. On a vécu des choses incroyables. Comme la chanson qu’ont entonnée nos porteurs lorsque nous sommes redescendus, une sorte de chanson de la victoire. C’était très émouvant ». La Cosnoise retiendra aussi la pauvreté en Tanzanie et les conditions de vie très difficiles. Ça fait relativiser… » Et conclut qu’elle est très heureuse d’avoir eu la chance de vivre cette aventure ». Laëtitia Chrétien Le20 juillet, la Vice-présidente Kamala Harris a annoncé qu’elle et le président Joe Biden auraient le plaisir d’accueillir les dirigeants africains à Washington du 13 au 15 décembre 2022 à l’occasion du Sommet des dirigeants États-Unis-Afrique. La Vice-présidente a fait cette annonce au nom de la délégation américaine Lisez tous les articles premiums avec votre abonnement numérique S'abonner à 1€ vendredi 01/07/2022 à 11h57 Société Rognac Le Rognacais s'est lancé le pari de gravir les 5 895 m du fameux du Kilimandjaro afin de rendre hommage à un membre de sa famille. Au fil de sa préparation et de son ascension, il est finalement devenu accro à l'exercice. Rencontre Photos DR 1/4 Outre l'ascension du plus haut sommet d'Afrique, composé notamment de trois volcans, Renaud photo centrale, a dû aussi traverser une végétation hostile avec ses compères de course avant d'atteindre son but. Photo DR 2/4 Outre l'ascension du plus haut sommet d'Afrique, composé notamment de trois volcans, Renaud photo centrale, a dû aussi traverser une végétation hostile avec ses compères de course avant d'atteindre son but. Photos DR 3/4 Photos DR 4/4 Après avoir traversé la Corse à travers le GR20, le Rognacais Renaud Aita a réalisé le projet fou de gravir le Kilimandjaro, le plus haut sommet d'Afrique 5 895 m. "C'était une manière de rendre hommage à mon parrain décédé d'un cancer ; gravir ce sommet m'a permis de me rapprocher de mes étoiles", raconte Renaud de 41 ans l'affirme "Cette ascension a aussi été une aventure spirituelle, elle permet de se concentrer sur soi-même et de découvrir de nouvelles cultures." La montée du sommet n'a cependant pas été de tout repos pour le Rognacais et son équipe. "Physiquement, on a réussi à tenir mais certaines personnes du groupe, dont moi, avons eu le mal des montagnes NDLR, dû au déficit en oxygène ressenti en ha Il vous reste 90% à lire. Déjà abonné ? Se connecter Comment accéder à cet article ? ek2Oks.